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Impact De La Crypto Sur Les Sanctions: Les Inquiétudes Des Régulateurs Sont-Elles Justifiées?

L’épuisement des crypto-monnaies pour échapper aux sanctions mondiales d’organisations gouvernementales mondiales diversifiées comme les sites internationaux unis (ONU), le Fonds monétaire mondial (FMI) et l’institution monétaire mondiale, entre autres, a été un déranger les régulateurs depuis la création des crypto-monnaies.

L’adoption impulsive des monnaies numériques au cours des deux dernières années rend cette discussion plus cruciale que jamais, notamment avec l’introduction de l’institution financière centrale numérique les devises (CBDC) aiment le yuan numérique.

Dans une interview le novembre 17, le secrétaire adjoint au Trésor des États-Unis, Wally Adeyemo, a déclaré que l’efficacité de Les sanctions américaines ne seraient désormais pas compromises par les monnaies numériques des institutions financières centrales.

Les remarques d’Adeyemo révèlent les commentaires de l’oligarque russe sanctionné Oleg Deripaska, qui a incité le gouvernement russe à épuiser le Bitcoin pour échapper aux sanctions américaines et même affaiblir la domination du billet vert américain. Deripaska a déclaré: “Les États-Unis avaient compris que les fonds numériques incontrôlés n’étaient généralement pas très importants, annulant l’efficacité du mécanisme global de sanctions financières, mais réduisant également le billet vert dans son ensemble.”

L’administration Biden chez Mammoth a adopté une position inquiétante en opposition aux sociétés de crypto-monnaie qui encouragent de telles causes. Il a découvert que les échanges de crypto-monnaie responsables de l’activation des attaques de ransomwares ont été facilités par les pays rivaux.

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Les attaques de ransomwares ne sont que la pointe de l’iceberg

En septembre, l’Espace d’entreprise de la Division du Trésor de Sources Internationales Retain surveille le courtier de gré à gré sanctionné Suex à côté de la liste des ressortissants particulièrement désignés pour lesquels les biens sont bloqués et tout contributeur américain est interdit d’effectuer transactions financières avec eux. Les bureaux du revendeur à Moscou et à Prague ont également été répertoriés par l’agence du gouvernement fédéral comme une phase de leurs sanctions, aux côtés des adresses de crypto-monnaie 11 pour Bitcoin (BTC) , Ether (ETH) et Tether (USDT).

Plus actuellement, le 8 novembre, le régulateur a sanctionné l’échange de crypto-monnaie Chatex et a saisi 6,1 millions de dollars de jetons de crypto-monnaie de la société. Chacun de ces échanges a été sanctionné pour les raisons liées, c’est-à-dire l’acceptation de crypto-monnaies qui ont été utilisées pour payer les pirates informatiques pour les attaques de ransomware.

Cointelegraph a discuté de ces sanctions avec Ari Redbord, le chef du gouvernement affaires chez TRM Labs – un protocole d’intelligence blockchain. Redbord a auparavant été conseiller principal du secrétaire adjoint et du sous-secrétaire au terrorisme et au renseignement monétaire au Trésor américain.

Redbord quick Cointelegraph, «Ce sont des bourses imbriquées non conformes ou des sociétés de support d’actifs virtuels parasites qui se nichent sur l’infrastructure d’échanges mieux conformes pour s’exposer aux gains de récupération de leur traînée et de leur liquidité.»

Des échanges comparables à ceux-ci restent dans l’ombre de l’écosystème de crypto-monnaie largement conforme et construisent maintenant des procédures de conformité suffisantes et non sécurisées dans l’espace pour s’éloigner des risques financiers illicites. Redbord a également mentionné la position de l’administration sur le total:

«L’administration a été très optimiste sur le fait que le ransomware n’est plus un mot crypto. Il s’agit d’un sujet cybernétique et le principal point focal pourrait peut-être peut-être peut-être aussi tout simplement encore sur le renforcement des cyberdéfenses. Le Trésor a été très intentionnel dans ses actions – le plus formidable s’attaquant au ventre illicite de l’écosystème crypto – nions, parasitons les VASP et les entreprises et les produits du darknet – dans l’espace de l’économie crypto extrêmement licite et en expansion. »

Le financement du terrorisme avec des crypto-monnaies est également une gêne précieuse pour les régulateurs. Certes, c’est certainement l’un des premiers facteurs de motivation dans l’aide de l’intention du régulateur indien d’interdire les crypto-monnaies, ce qui a déclenché une alarme sur le poste lorsque la publication a été publiée.

Redbord a mentionné qu’au cours des douze derniers mois, il y a eu un changement global vers un monde «monté-monté» 9-11 dans lequel le champ de bataille est désormais majoritairement numérique. Il a ajouté: «Maintenant, nous sécurisons le passage de la crypto-monnaie dans le financement du terrorisme, les fonds de rançongiciels et le blanchiment d’argent programmatique par des acteurs de l’opposition nationale comparables à la Corée du Nord. Mais, nous veillons également à ce que l’application de la législation épuise les outils d’analyse de la blockchain pour régler et faire allusion à l’afflux de fonds dans l’exposition pour atténuer les risques posés par ces acteurs illicites. procédure selon laquelle l’application de la législation, les régulateurs et les institutions financières garantissent une plus grande visibilité de l’afflux de fonds que dans les mécanismes de transaction fiat. Afin de s’assurer avec succès que les crypto-monnaies ne sont pas transmises dans le cadre de l’évasion des sanctions, néanmoins, il est nécessaire que les organismes de surveillance financière garantissent un meilleur fonctionnement de la classe d’actifs et de l’expertise qui la soutient.

Charlie Chen, directeur marketing du protocole de financement décentralisé Horizon Finance, quick Cointelegraph, «Les gouvernements et les institutions financières n’ont pas encore découvert comment travailler avec les crypto-monnaies, de sorte qu’ils peuvent également être choisis honnêtement pour commettre des crimes. Le quartier regorge d’histoires fantaisistes de celle de la rue de la soie. Il y a des affaires pénales valides, des crypto-monnaies et des condamnations, quelle procédure il pourrait peut-être y avoir des preuves. Nombre total d’appels à l’épuisement de la cryptographie pour échapper aux sanctions

CBDC pour garantir un impact minimal sur les sanctions

Un autre côté de la crypto-monnaie qui peut peut-être peut-être potentiellement avoir un impact sur les sanctions sont les monnaies numériques des institutions financières centrales. La Chine est pour le moment le chef de file. Les CBDC mises de côté sont obsédées par le programme CBDC potentiellement le plus amélioré – le paiement électronique en monnaie étrangère numérique ou le yuan numérique.

Dans le passé, les principales banques chinoises opérant aux États-Unis ont pris des mesures provisoires pour se conformer aux sanctions américaines. Mais certains ne pensent pas que l’adoption de cette CBDC sur les marchés mondiaux pourrait peut-être peut-être peut-être peut-être peut-être peut-être peut-être peut-être conduire à l’affaiblissement du billet vert au fil du temps, à moins que les États-Unis ne refusent le programme chinois.

Chen, cependant, pense qu’il y a peut-être peu de chances que les CBDC soient également adoptées à bon escient pour contourner les sanctions financières. Il a déclaré: “Au second degré, la plupart des transactions mondiales sont effectuées en dollars américains, et les entreprises russes auront du mal à inciter leurs partenaires à abandonner les transactions en dollars américains au lieu d’un rouble numérique.”

Il a ajouté que les mécanismes et algorithmes actuels de suivi des transactions permettent déjà de détecter les transactions suspectes et qu’un jour, ces mécanismes deviendraient encore plus améliorés et efficaces.

À l’heure actuelle, il n’y a aucun obstacle qui empêcherait de payer un ensemble sécurisé sanctionné pour un transporteur avec des crypto-monnaies de fantaisie Bitcoin. Même avec l’utilisation des crypto-monnaies actuelles et des portefeuilles sur liste blanche, ces transactions seraient plutôt ignorées par les régulateurs financiers. Cependant, Chen a défini que des complications surviendraient lorsque les jetons seraient échangés contre des devises fiduciaires et transférés sur le compte courant du sécurisé sanctionné ensemble.

Chen a ajouté: “Même si vous utilisez un échange précieux de fantaisie Binance, ce transfert d’institution financière ne fonctionnera désormais plus. Par conséquent, vous voudrez peut-être épuiser les petites sociétés d’échange et les produits si courants dans le pays soviétique. De nombreuses juridictions dans la région, elles sont en grande partie non réglementées et l’adoption continue d’être naissante. En tant que tel, la capacité des crypto-monnaies à être transmises à l’échelle d’une nation-converse pour s’éloigner des sanctions reste à définir.

Un ingrédient est évident, que la cryptographie semble ou non être l’itération suivante de l’argent ou simplement toute autre construction d’investissement, les régulateurs surveillent son épuisement dans les activités illicites comparables à l’évitement des sanctions.

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Stéphane Delsol

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